Déjà,
le problème, c’est d’orthographier convenablement ce mot : auto-référence ou autoréférence ? Auto-description
ou autodescription ? Self- ou self ?
Ça n’a l’air de rien, mais les moteurs de recherche comme Google (ou AntiGoogle)
ne plaisantent pas avec la typo ! Voici quelques liens :
Il
s’agit d’une grille de mots faisant le compte des lettres qui s’y trouvent.
Cette grille croise les nombres de 0 à 100. Un lien conduit à d’autres grilles de ce type.
Une contribution que je n’ai pas lue à Genève le 13 octobre 2000 lors du Festival In-Folio.
Journal
des diverses kleinigkeiten autoréférentes
qui me font sourire.
Ce
chapitre du « Bestiaire ébloui des lexies tératoïdes »
est consacré à l’autoréférence.
Texte
paru dans la revue « Archipel » et dans la revue
« Formules » (il s’inspire d’un texte
de David Moser cité par Douglas Hofstadter
dont une traduction figure ici).
Inspirées de Douglas Hofstadter
toujours.
(hébergées par Gilles Esposito-Farèse à l’occasion d’un anniversaire. Nom du
fichier : Photoréférence !)
contenant leur propre réponse
__________
L’illustration du haut est
(presque) de M.C. Escher. Elle ne fut pas siphonnée de ce site-ci. Celle juste à côté
vient de là. La danseuse est de Sandro Del Prete (je l’ai trouvée sur le site
italien illuweb),
le N/B est de Shigero Fukuda, les
bras humanoïdes viennent de d’ici. Les images du bas
sont de Mark Tansey (l’échelle), de John Cuneo et de Suzanne
Valadon. Elles viennent respectivement d’ici, d’ici et de là.
Cinquante-deux lettres,
vingt voyelles, trente-deux consonnes.
Cinquante-six lettres, vingt
et une voyelles, trente-cinq consonnes.
Retour à la page d’accueil
du site, ici.
Boucle
étrange. Étrange requête.